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Mise à l’eau de l’IMOCA Bureau Vallée après 5 mois de travaux hier à Saint-Malo

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Communiqué de presse
5 juillet 2016

 

VENDEE GLOBE 2016

Bureau Vallée : Mise à l’eau de l’IMOCA Bureau Vallée
après 5 mois de travaux hier à Saint-Malo

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Après un gros chantier pour préparer et optimiser sa configuration Vendée Globe, l’IMOCA Bureau Vallée va enfin retrouver son élément naturel. Cette mise à l’eau ouvre la dernière phase de préparation et de fiabilisation en vue du Vendée Globe pour son skipper Louis Burton.

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Crédit photo : BG Race

BYE BYE LE TOUR DE FRANCE « MINI-BV » !

Hier, en fin d’après-midi à Saint-Malo, Louis n’a pas caché sa joie en suivant de près les diverses manutentions nécessaires à la remise en route de son IMOCA. Il faut dire que l’année 2016 n’a pas été de tout repos pour le skipper. Outre les différents aspects de sa préparation au Vendée Globe (physique, nutrition, météo, médical…), Louis a également passé de nombreux kilomètres sur la route à la rencontre des magasins Bureau Vallée et se languit de retrouver son élément, « la mer ».

Tandis que le Tour de France cycliste a démarré samedi, Louis Burton a donc rangé sa réplique de 7M de son IMOCA avec lequel il a fait le tour de la France depuis mars : Les Clayes sous Bois, Paris 14, Courbevoie, Coignères, Epinal, Cholet, Ploeren, Colomiers, Ploermel, Remiremont, Roques Sur Garonne, Le Mans, Sens, Auxerre, Rambouillet, Auray, Granville… soit 17 journées et plus de 13 000 km parcourus pour faire découvrir la course au large et l’univers de la mer à des clients Bureau Vallée et aux enfants des écoles à proximité souvent éloignés de l’océan !

 

AMERLIORATION & OPTIMISATION

L’IMOCA Bureau Vallée a bénéficié d’un check-up minutieux et d’optimisation dans sa base de Saint-Malo, sous la houlette de Servane Escoffier, directrice du Team, et de Loïc Fequet, boat captain pour cette préparation au Tour du Monde en Solitaire.

C’est un fait, parmi les skippers du prochain Vendée Globe, Louis Burton est celui qui dispose de son bateau depuis le plus longtemps. S’il est toujours allé au bout de ces différentes transats, l’abandon sur le Vendée Globe 2012 a permis à Louis et à son équipe d’en apprendre énormément sur la gestion et la préparation nécessaire à cet « l’Everest des mers ».

« Les optimisations réalisées cette année sont le fruit de l’expérience et des données enregistrées en 4 ans de course avec ce bateau. Nous avons pris le parti d’optimister les solutions, de mettre à neuf et de fiabiliser ce que nous avons pu valider ces dernières années. Presque tout est neuf à bord, mais selon des spécifications validées en course en amont. Les améliorations majeures concernent le confort de vie, avec une nouvelle casquette de roof très couvrante pour protéger le marin, et l’optimisation des aménagements intérieurs pour gagner encore un peu de poids, et faciliter la vie à bord, avec notamment un système de matossage et de déplacements des poids et des voiles à bord super pratique. Clairement, l’objectif de la préparation a été tourné vers un seul but : terminer la course, sans nuire au potentiel de vitesse du bateau, mais avec une petite dose de confort en plus pour rester performant 90 jours. » nous explique Louis.

 

NAVIGUER POUR AFFINER

La suite du programme est simple : Louis et son équipe vont désormais enchainer les navigations afin de finaliser la mise au point des nouveautés et de toutes les pièces neuves à bord. Le bateau ne retournera pas en chantier d’ici au Vendée Globe, il s’agit maintenant de naviguer et de continuer à forger une relation skipper / bateau déjà très solide. En plus des navigations de préparation, Louis participera également au Trophée Azimut fin septembre à Lorient. Après ça, le départ vers les Sables d’Olonne arrivera très vite, puisque les bateaux doivent être arrivé à Port Olonna le 14 octobre.

Côté objectif sportif, Louis répond sans détour : « L’échec de 2012 a été très dur a digérer car c’est la seule course que je n’ai pas terminé. Donc, l’objectif n°1, c’est de finir. Ce qui est bien, c’est qu’il y a de nombreux bateaux assez proches de Bureau Vallée en terme de performance. Donc terminer oui, mais avec l’idée d’être dans le match des bateaux de la génération 2008. »

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A propos de Bureau Vallée :

Bruno Peyroles crée en 1990 le 1er magasin Bureau Vallée et introduit ainsi en France le 1er concept de « Superstore » de papeterie et de fournitures de bureau, dont les valeurs concilient discount de marques et développement durable, sous le nom de « discount durable ». Qualité, choix, conseil, services, vrac libre-service… Bureau Vallée vend les grandes marques dont beaucoup produisent en France et en Europe (Clairefontaine, Exacompta, Stabilo, Bic, Oxford, Gautier, Staedtler…). Seul distributeur en France à faire noter écologiquement par un organisme indépendant 100% de ses produits vendus. Bureau Vallée compte aujourd’hui 250 magasins répartis en France et à l’étranger.

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